En Andorre, principalement, la qualité de l’air a correspondu l’année dernière à la norme. Ces données sont contenues dans l’étude annuelle du ministère de l’Environnement, de l’Agriculture et du Développement durable. Selon cette étude, la qualité de l’air dans la principauté a été fixée au niveau entre “ très bien et “bien” sur une période de 8041 heures (92% du temps), au niveau “satisfaisant” – 617 heures (7%) et au niveau “insuffisant” – 126 heures (2%).
Selon l’étude, depuis 2010 on observe la stabilisation de la qualité de l’air en Andorre. Le ministère de l’Environnement exerce une surveillance automatique et manuelle de la qualité de l’air avec l’aide des stations météorologiques (qui se trouvent à Escaldes-Engordany et au lac d’Engolasters), ainsi qu’avec l’aide d’applications mobiles.
Les études quotidiennes ont permis d’identifier deux périodes durant lesquelles le niveau de dioxyde d’azote était au maximum: le matin de 7 heures à 10 heures et le soir de 18 heures à 20 heures. Le taux maximal de dioxyde d’azote a été fixé dans la partie occidentale des zones urbaines de l’Andorre, où la circulation des véhicules est la plus intense. En général, la teneur en dioxyde d’azote dans l’air, sur une période de 11 mois, a été en dessous de la valeur limite de la norme. Seulement au cours du mois de décembre 2016, elle a dépassé la normale.
En ce qui concerne la teneur en dioxyde de soufre en 2016, son taux dans l’air a été bien en dessous de la réglementation. La raison est que le diesel, qui est importé dans la principauté, contient une faible teneur en soufre.
